Principales mesures de la stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens 2019-2022

Publication sous l’égide du Ministère de la transition écologique et solidaire et du Ministère des solidarités et de la santé.

  • L’Anses va constituer d’ici fin 2021 la liste des substances pouvant présenter des propriétés perturbatrices endocriniennes, sur la base des listes existantes [et] d’une étude bibliographique. L’Anses devra définir une méthode d’identification et de priorisation des substances pouvant présenter des propriétés de perturbation endocrinienne, Il s’agira ainsi de définir des critères permettant d’établir un caractère perturbateur endocrinien avéré, présumé ou suspecté pour l’homme.
  • Le projet prévoit de déployer de nouvelles formations pour les professionnels de santé sur les risques chimiques, intégrer à certaines formations diplômantes (médecins, sages-femmes, infirmiers, pharmaciens…) un objectif de formation sur les risques chimiques, dont les perturbateurs endocriniens.
  • Il est nécessaire d’intégrer des bases solides et validées sur la question de la perturbation endocrinienne dans le cadre des formations professionnelles continues reconnues et accréditées. Pour les professionnels de santé, cela pourra être réalisé dans le cadre du développement professionnel continu (DPC).
    Il est prévu de donner plus de visibilité aux actions et bonnes pratiques mises en place notamment par des établissements de santé (maternité, service pédiatrique, etc.) pour réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens.
  • Mise en ligne d’un site internet consacré aux perturbateurs endocriniens en 2019 avec une campagne d’information grand public sur les produits chimiques
Plan d’action 2019-2022

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