Certificat médical de non contre-indication à la pratique d’un sport
Publié le 13.09.2017
Recommandations
Le certificat réglementaire de non contre-indication à la pratique sportive soit établi à l’occasion des examens systématiques de l’enfant et que la nature du ou des sports pratiqués, son (leur) intensité et sa (leur) répartition (nombre d’heures et fréquence) soient mentionnées dans le carnet de santé sur les pages réservées aux examens systématiques de l’enfant ;
Ce certificat ne soit pas discriminant et contribue à la promotion des activités physiques et sportives pour chaque tranche d’âge en tenant compte des risques d’inégalités sociales de santé ; les examens de contrôle de l’activité physique et sportive ayant pour but la délivrance d’un certificat, assurés pour la plus grande part d’entre eux par des médecins généralistes, ne comportent pas d’examens complémentaires sinon en cas de signes d’appel.
La pratique systématique d’un ECG n’est pas nécessaire et laissée au libre jugement du praticien.
La mise en place de vérifications supplémentaires systématiques pourrait aller à l’encontre de la promotion de l’activité physique ou sportive ; La période de l’adolescence suscite une vigilance particulière en raison des changements rapides du corps. Le HCSP conseille d’augmenter la fréquence des examens médicaux de prévention, au minimum tous les deux ans, de saisir l’opportunité de ce contrôle pour initier d’autres démarches préventives (dépistages, vaccins, conduites alimentaires) et d’être particulièrement attentif à cet âge de la vie aux risques de consommation abusive de substances psychoactives ;
Le médecin qui signe le certificat de non contre-indication à la pratique sportive soit attentif à l’intensité de pratique pour le sport demandé et à l’adéquation à la physiologie de l’enfant lorsque celui-ci souhaite suivre un entraînement intensif ou une pratique aux caractéristiques particulières et que, du fait de la durée de la consultation et de la délivrance du certificat, le temps médical consacré au jeune sportif soit valorisé ; l’intérêt et les limites d’un apprentissage de l’auto-surveillance pour les enfants soient explicités ;
Un questionnaire-santé propre à l’enfant, sur le mode de celui figurant en annexe, soit l’objet d’une étude de faisabilité et de pertinence en partenariat avec des représentants de médecins spécialistes de l’enfance ;
En fonction des sports et de leurs risques spécifiques, les fédérations sportives fournissent le contenu des visites de non contre-indication à la pratique du sport qu’elles encadrent, indiquent la fréquence des visites médicales (intervalle entre 2 visites ne dépassant pas 3 ans) avec les seuils d’intensité pour lesquels l’avis de la commission médicale fédérale doit être consultée, ainsi que les examens initiaux attendus dès lors que l’enfant s’engage dans une activité physique plus intensive.
Durée de validité d’un certificat pour le sport
@PediatresAfpa
-
il y a 1 an
[#Sommeil]
😴 Le sommeil est une préoccupation importante des nouveaux parents
Comment faire dormir bébé ? Quand fer… https://t.co/ejlDHOfHIr -
il y a 1 an
[#Allaitement]
🍼13,4%, c’est le nombre de femmes qui choisissent un allaitement mixte à la maternité (INSERM)
➡️Cet… https://t.co/erlEc19lCL -
il y a 1 an
[#Sommeil]
☀️Ce début de vacances d’été annonce les séjours en colonie ou chez la famille : l’occasion pour votre e… https://t.co/d5ILG1a0Ii