Editorial

Dans ce nouveau numéro, nous vous proposons, une fois de plus, des articles très variés.

Certains ont été rédigés à partir d’interventions dans les congrès, comme celui de l’AFPA en juin à Toulouse.

J’avais envie de vous parler un peu plus des congrès, surtout en cette année de jeux olympiques de Paris 2024 où on a mesuré combien partager des temps forts ensemble est important pour chacun et pour tous.

La fréquentation de nos congrès est en baisse régulière. Rien de catastrophique mais la participation diminue.

A cela de nombreuses explications : les séminaires, les webinaires, le travail, la famille et beaucoup de très bonnes raisons mais, pour autant les congrès doivent rester des temps essentiels dans le fonctionnement d’une association telle que la nôtre.

Ils nous permettent de dépasser le cadre de nos cabinets, de nous réunir, d’écouter les avancées, les nouveautés, de nous interroger sur des questions récurrentes mais qui peinent à trouver des réponses consensuelles, de faire des rencontres intéressantes et de stimuler notre motivation dans l’exercice quotidien de la pédiatrie.

Les organisateurs des congrès mettent pendant de longs mois leur énergie, leur inventivité, leur appétit scientifique et leur volonté de partage des connaissances à organiser des événements toujours uniques.

Lisez la chronique sur les clowns de Toulouse !

Et, de notre côté, dans les pages du Pédiatre, nous essayons de vous restituer fidèlement la teneur des communications car on ne retient pas tout, même en écoutant attentivement, on le sait bien !

Bonne lecture et merci de votre soutien au Pédiatre et à l’AFPA